Préserver les océans signifie préserver la vie. Une conviction au cœur des actions de la Fondation Race for Water. Du 29 juin au 23 juillet, la Fondation présente 60 photographies de Peter Charaf dans une exposition en plein-air et libre d’accès le long du quai Wilson à Genève. L’exposition retrace l'histoire imagée d’un tour du monde d’une année en voilier afin de comprendre et étudier la pollution plastique des océans : émotions garanties.
Selon une étude publiée par la Fondation Ellen Macarthur, 8 millions de tonnes de plastiques par an sont déversés dans les océans et d’ici 2050, il y aura plus de plastique que de poissons dans les océans. Dans l'exposition du quai Wilson, un texte en français et en anglais accompagne chacune des photographies et explique quelles études scientifiques ont été réalisées, quelles îles ont été visitées et quelles conclusions ont été mises en lumière : principalement, il s'agit de mener des actions à terre avant que les plastiques ne se retrouvent dans les océans.
En février de cette année, la Fondation est repartie autour du monde pour l’Odyssée de l’Espoir. « De la constatation nous passons à l’action en démontrant l’existence d’une solution capable de transformer les déchets plastiques en ressources énergétique. », dit Marco Simeoni, Président de la Fondation Race for Water.
La photographie est une de celles présentées dans l'exposition au Quai Wilson. Peter Charaf, auteur de ces images, est spécialisé dans la photographie de sports extrêmes, d'aventure et de voyage. Il a fait le tour du monde en 2015 aux côtés de la Fondation Race for Water alors que celle-ci menait une étude globale sur l’impact de la pollution plastique des océans.
UN Mine Action Service, 2016 11,401 persons have benefited from risk education sessions about the danger posed by explosive hazards in Côte d’Ivoire. 35% of them were women